Étape 1 : Doter le territoire d'une gestion énergétique globale (gestion et efficience)

Acteurs

Depuis 2 ans, SQY a lancé une politique de limitation de l’impact énergétique des bâtiments publics existants. Les premiers résultats sont là avec une baisse de 5,1 % des consommations (toutes énergies confondues 16,7Mwh), ce qui diminue l’impact carbone du patrimoine bâti.
Cela permet également de contenir le coût énergétique malgré une remontée des prix de l’énergie à 1,45 M€/TTC.

Le développement d’outils permettant de mieux connaitre la typologie des consommations électriques a été mis en oeuvre sur la piscine intercommunale au Clayes-sous-Bois et sur le théâtre (Scène nationale) à Montigny-le- Bretonneux. Les premières données vont permettre de mieux cibler les axes permettant d’optimiser la rentabilité des investissements vis-à-vis des économies d’énergie.
En 2019, des interventions ont été effectuées au sein de la médiathèque Jean-Rousselot à Guyancourt afin de remplacer l’ensemble de l’éclairage par des Leds. Le parking de l’hôtel d’agglomération, à Trappes, a vu son éclairage évoluer de la même façon avec un dispositif de détection de présence.

SQY a attribué 2 marchés de maîtrise d’oeuvre en 2019 afin de réhabiliter thermiquement les médiathèques de Trappes et d’Élancourt courant 2020.
Ces marchés seront assortis d’une clause permettant, sur les 2 années suivantes, de vérifier la performance énergétique des solutions proposées et mises en oeuvre dans le cadre de ces travaux. Cela permettra de développer ou de
ne plus utiliser certaines solutions techniques en fonction de la réalité de leur efficacité.

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Eclairage Public :  SQY expérimente un éclairage public intelligent durant toute l'année 2020

SQY expérimente à Villepreux un éclairage intelligent qui consiste à éteindre l'éclairage public sur certains axes, en semaine, de 1h30 à 4h30. Pourquoi ? Comment ? On vous explique :

Cette expérimentation d’extinction d'une partie de l’éclairage public, pendant une plage horaire peu fréquentée par la population (entre 1h30 et 4h30 en semaine uniquement), permet de réaliser des économies sur la consommation d'éclairage public de 20 %.

Elle permet également :

• de diminuer la pollution lumineuse,
• de gagner en durée de vie des équipements,
• de baisser les coûts de maintenance.

Cette expérience est menée sur une durée d’un an ; en fonction des premiers bilans, il pourra être décidé d’ajuster le dispositif, de le poursuivre ou de l’abandonner.